Suivez Bonesha fm En Direct

Mairie de Bujumbura : Les prix sur le marché restent instables malgré l’ordre du président Ndayishimiye

Facebook
Twitter
LinkedIn
WhatsApp

Certains habitants de la capitale Bujumbura déplorent qu’il n’y a pas eu de fixation des prix sur le marché malgré le délai de 15 jours qui avait été accordé au ministère du Commerce pour fixer les prix sur les marchandises. Ils demandent à ce ministère d’exécuter la mesure du président de la République afin de stabiliser les prix sur le marché.

Les citadins de la mairie de Bujumbura se lamentent de l’instabilité des prix sur le marché qui ne cessent de s’observer. C’est après, un délai de 15 jours qui avait été donné par le président de la République au ministère du Commerce pour fixer les prix officiels sur les marchandises, c’était lors de l’émission publique du vendredi 27 décembre 2024.

D’après ces habitants, les prix des produits ne cessent de monter, c’est horrible. Ils donnent comme exemple le prix du riz tanzanien qui continue à grimper au lieu de baisser ou par exemple le savon de lessive « Omo » qui s’achète actuellement à 102 mille francs au moment où il était à 80 mille francs.

« Les prix continuent à monter au lieu de baisser. Nous ne comprenons pas cette situation alors que le président de la République a ordonné au ministère du Commerce de fixer les prix officiels sur le marché », d’après un citoyen interrogé.

Il ajoute que : « La question liée aux prix sur le marché est devenue préoccupante. Aujourd’hui, il est difficile de distinguer les prix des denrées alimentaires importées des prix des denrées alimentaires locales. »

Ces habitants demandent au ministère de baisser les prix sur le marché afin que la population puisse avoir accès aux marchandises. Cependant, ils mentionnent que la vie est très chère.

« Ce que le président de la République exige doit être mis en application. Alors, il faut que le ministère du Commerce prenne le devant pour la mise en œuvre du discours du président. » 

Signalons que, lors d’une émission publique en décembre, le président Ndayishimiye avait parlé de possibilité de mettre en place une autre commission pour faire ces tâches et remplacer le ministère en charge du commerce s’il s’avère nécessaire.

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest
Pocket
WhatsApp

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *