L’administrateur général de la Sosumo explique que parmi ces défis figurent la production insuffisante du sucre et la spéculation des commerçant qui compliquent sa distribution bien que les solutions pointent à l’horizon.
« La solution durable est celle d’augmenter la production », rappelle l’ADG de la Sosumo, Aloys Ndayikengurukiye.
Cela révèle-t-il se fera via un plan d’affaires pour l’extension et la modernisation de la Sosumo. Un plan qui est déjà validé par le gouvernement. Il faudra aller loin pour mettre en place une autre usine capable de produire plus de 50 mille tonnes de sucre. « L’idéal serait d’avoir une ou deux sosumos capables de produire le sucre pour satisfaire la demande locale voire pour l’exportation. »
Au niveau de la Sosumo, l’ADG indique que des études sont en train d’être menées pour s’aligner dans le contexte actuel du Burundi émergent en 2040 et développé en 2060.
Une autre solution envisagée c’est celle d’améliorer la distribution du sucre.
Il fait savoir que lors d’une réunion qui a été tenue par le président de la République à l’endroit des grossistes du sucre, des mesures ont été prises. « Nous sommes à l’œuvre pour mettre en exécution ces mesures. »
La pénurie du sucre un problème qui persiste, connu et assumé par les institutions du pays. Mais l’autorité habileté peine à trouver une solution durable.